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« J’étais assis tranquillement méditant sur des choses sans grande importance lorsque soudain me prit l’envie de me lever. Il faisait sombre, je m’approchais de ma dernière composition : une œuvre encore inaboutie  à laquelle je ne cessais de m’appliquer. »

« J’habitais une drôle de maison. Ma mémoire y avait conservé les rencontres surprenantes de ma vie. Il y avait ces cartes… elles me rappelaient une vieille histoire à laquelle j’avais participé il y a bien longtemps. Mais mes artères me disent de me taire. Peu importe. Tout commença comme ça, dans cet étrange pays dont je ne me souviens plus du nom. Mais à mon âge les enfants me pardonneront ».

À quelque lieux de là il y a une montagne très ancienne selon les légendes locales.

Il n’était pas très conseillé de s’y promener la nuit comme le jour, une énorme forêt épaisse et drue vous empêchant d’avancer. Les arbres avaient des branches semblables à des bras vous étreignant avec force et vigueur. On racontait que jadis on y abandonnait les nouveau-nés dont on ne voulait pas, Bref un endroit peu réjouissant. Un drôle de rapace volait depuis quelques temps au dessus de la montagne. Il observait. Son œil reflétait le paysage. Soudain il piqua droit devant lui. Une énorme ville apparut. Il la survola et descendit vers un drôle de bâtiment perché sur la montagne,  attiré par des cris et rires.

Il s’approcha et se gara tant bien que mal sur un arbre à proximité.

De jeunes adolescents se tenaient là, discutant les dernières nouvelles d’Ilmote, leur école. Un peu à l’écart le caretaker était agenouillé bricolant le sculptural portail d’entrée.

Un des jeunes, A.P assis sur le sol, dessinait une carte géographique, pendant que sa camarade racontait ses derniers exploits.

Soudain une sonnerie retentit, tous se levèrent mis à part A.P qui se dépêchait de finir ses croquis.

Les élèves  se regroupèrent et regagnèrent leur classe. A.P trainait toujours derrière absorber par son œuvre. Appelés par ses camarades il se leva brutalement laissant choir un papier derrière lui. Le caretaker ramassa en grognant la feuille oubliée et y jeta un œil : Krossing (titre sur l’écran).

Entrant à son tour dans le bâtiment, l’homme d’entretien chercha du regard à travers les murs vitrés le jeune élève étourdi. Pris d’une curiosité subite, il regarda la feuille. Une carte étonnante  datant de plusieurs années y figurait. Cela l’intrigua. Ne devait-il pas en référer au directeur de l’école ? On ne sait jamais avec ces jeunes, gromme la-t-il.

Le directeur le remercia chaleureusement,  le félicitant de sa prudence.

Il convoqua immédiatement l’étourdi.* Chaussant ses lunettes, il se fit sévère et lui demanda d’où venait ce dessin. L’élève semblait surpris. Il avait récupéré une vieille carte et l’avait reproduite de son mieux pour l’anniversaire de son grand-père.*

L’envol, sur la corniche.

Des cris et fous rires se mêlaient aux courants d’air d’un vent aquilin emportant les portoloins (ailes volantes) dans le grand vide. L’objectif était plus bas, un petit bras de rivière où  se jetait une cascade d’eau. Quelques élèves préféraient jouir de la douceur de l’eau que de suivre les cours de l’école. Excités, iIs s’aspergeaient dans une heureuse confusion. Les plus paisibles  s’exerçaient à des accords, congas, pendant que d’autres peignaient.

Et il y avait ceux qui hurlaient les mains levées en direction du ciel, invectivant leurs téméraires camarades.

Soudain un cri jaillit d’une de ces étonnantes bestioles. « Amerrissage cria un des jeunes »

Tous se reculèrent. Graciles les portoloins déposèrent leurs ailes à fleurs d’eau. Tous les acclamèrent. Mais ils avaient oubliés toute prudence et les échos de leurs voix allèrent jusqu’aux oreilles de Lady thumbman (CPE d’Ilmote).

Prise de colère celle-ci même géné par un léger embonpoint se sentit pousser des ailes.

« Cette fois ci je les aurais ». Elle ouvrit sa porte brutalement et se précipita dans le couloir. Emportée par son l’élan, elle heurta le caretaker (homme d’entretien). L’homme tourna trois fois sur lui même sous l’effet du choc. Elle s’excusa à peine.

« Il semble manquer des élèves » dit il en se reprenant.

-« Vous occupez vous de vos… »

Surpris il en resta bouche bée. Elle poursuivit sa course, s’essuyant les gouttes de sueur dégoulinant de son front. Le calme revint le caretaker poursuivit son chemin, maugréant en se disant qu’elle n’y perdait pas au change.

Pendant ce temps les jeunes gens se congratulaient. Ils ne voyaient pas tant ils étaient pris par la joie d’un tel exploit, qu’à quelques pas de là dissimulée derrière un arbre une femme au regard perçant les observait.

– – – – – – – – – –

Elle tenait enroulé dans sa main des opuscules annonçant le Luna Park ou L’Estrellas (Circassiens).

Tout doucement elle s’approche d’eux et adresse le garçon (avec le portoloin):

« Dragan ? C’est une bien belle bestiole que tu as… Évidement que ça serait difficile de manquer la cible ». Lorsque simultanément d’un geste de la main tenant des fascicules elle montre l’eau (rivière).

Et instantanément le garçon nargue fièrement la petite bande. « Je vous l’avait dit que j’y arriverai ah ah (rires, euphorie). »

La bande : « il fonctionne !!! Ramo (prof) avait raison »

Surpris, la femme reprit la parole :

«Joh Ramo… compagnon …Ramo. »

Stupéfait ! Le garçon (Mingus) réagit « Vous le connaissez ».

Elle hocha la tête.

Mingus reprit sans lui laisser finir « C’est lui, oui c’est lui qui a entièrement refixé cette belle bestiole (portoloin).

Euphorie regagna à nouveau la petite troupe.

« Et puis vous êtes qui? Qu’est ce qui vous amène ici ? ».

La femme essaya en vain de leur expliquer.

Têtu, un second garçon du nom de L’ami se démarqua de la bande et arracha les fascicules de la main, et les donna promptement derrière lui à son binôme Ashe. Et d’un regard sarcastique ce dernier adressa la femme désabusée:

« Cette endroit est notre spot, Vous avez rien a faire ici »

La femme tenta une nouvelle fois en vain d’expliquer l’origine de leur bestiole :

« …C’est Dragan… »

Rires et euphorie de la part de la troupe :

« Dragon !! Dragan Ah Ah ».

Elle rétorqua à nouveau :

« Dragan, Marius Dragan c’est de lui que tout cette euphorie est venu, il en est à origine ».

De son coté Mme Thumbman s’époumonait à appeler son chat qui venait de lui filer entre les jambes. Ce n’était pas la bonne journée pour elle. En plus devant le portail de l’école s’était atroupés quelques élèves autour d’un homme étrange portant un chapeau haut de forme dans le genre Monsieur Loyal. Un bref instant elle eut le sentiment de l’avoir déjà vu. Mais où ? elle remua sa mémoire dans tout les sens et retourna quelques décennies en arrière. Mais non ce n’était pas possible, Ils étaient tous partis très loin après cette étrange histoire qui datait maintenant de bien plus de vingt années. Elle se rappelait encore du meneur du groupe, un dénommé Marius. Un drôle d’élève celui la. À l’époque elle était encore jeune et svelte, une vrai couverture de magazine. Mais voilà les années passent et aujourd’hui elle avait du mal à y croire. Elle s’approcha de l’homme au chapeau, qui la reconnut aussitôt.

« Lady thumbman quel plaisir de vous revoir… Il n’eut pas le temps d’achever qu’un brouhaha dans le lointain se fît entendre. D’étranges ailes trainées par de joyeux lurons semblaient voler à ras du sol. Le sang de Mme thumbman ne fît qu’un tour :

« chenapans, vous aurez deux heures de colle pour avoir remplacé le cours de Géo par une baignade sans surveillance. »

Mingus prit la parole au nom de tous.

« Madame thumbman nous rapportons de l’herbe à votre chat et nous avons trouver ces ailes tout à fait par hasard.

« Où les avez vous prise ? »

l’homme d’entretien arrivait lui aussi furieux :

« Lequel de vous a dérobé la clé du Préservation Hall?

  • « Où avez vous trouvez ces ailes ? »
  • Monsieur prit à son tour la parole :
  • « c’est une bien vieille histoire, écoutons Lady thumbman ». 
  •  

La légende de Marius Dragan.

NARRATION (CPE Lady Thumbman)

“Persuadés que notre univers n’était qu’une illusion, et qu’il y avait peut être une vraie vie ailleurs.

Je ne peux m’empêcher de penser à ces jeunes ardents qui s’efforçaient par tous les moyens de donner une consistance à leur imagination.

L’inspiration c’est bien ce que ce jeune cherchait jadis…Ce jeune garçon, il s’appelait Dragan, Marius Dragan, il était aussi autrefois un apprenti d ‘Ilmote.

je l’apercevais parfois dans la forêt, il marchait généralement seul.

Lorsqu’il n’avait pas cour pendant ses heures creuses il se rendait au parc de la forêt, alors que ses camarades préféraient aller se baigner dans les lagunes de la contrée.  

Il était tel un mage à la recherche de son étoile. Je vous parle de lui car j’ai moi aussi eu l’opportunité de le rencontrer, je l’ai vu pour la première fois quelque temps avant qu’il ne fasse la rencontre avec  le divin oiseau.

Un jour alors qu’il s’efforçait de trouver une solution aux défauts techniques persistant sur la construction de sa machine mécanique, il entendit non loin de lui des pépiements aigus provenant des proximités du grand arbre situé non loin de l’entrée du parc de la forêt, il s’approcha de l’arbre, et remarqua qu’il y avait un petit falconiforme, ce dernier était tombé du haut de son nid, il essayait de s’envoler, sans succès car il avait une aile brisée.

Pour le protéger des autres bêtes rôdant alentours , il le prit avec lui et alla le soigner dans la serre située dans l’enclos du jardin servant de pépinière, puis le déposa à l’abri à l’intérieur dans une corbeille en osier qu’il transforma en nid.

De temps en temps, il revenait dans la serre,  voir le petit rapace pour le nourrir et surveiller l’évolution de son rétablissement tout en observant attentivement ses ailes en prenant des notes et en faisant plusieurs ébauches qui allait lui inspiré plus tard une solution pour résoudre les lacunes techniques de sa machine.

Il ne se doutait point de ce que cet initiative allait déclencher dans son entourage et plus particulièrement dans la région entière du Poltavo.

Après quelques jours, lorsqu’il revint à nouveau, et fut ébahi par la guérison rapide et la virtuosité des battements des ailes du grand oiseau, sa grandeur l’impressionnait tant qu’il prit peur et s’enfuit…

Quelques jours après, après avoir regagné du courage en lui, il revint à nouveau dans la serre, cette fois-ci il fut surpris par le désordre causé à l’intérieur par le volatile. Il constata que l’oiseau était enfin rétabli.

Il n’était plus dans la corbeille en osier. il le remarqua perché en hauteur sur un petit arbuste dans la serre. Il tenta en vain  de l’attraper, car le petit faucon qu’il avait laissé était devenu un flamboyant oiseau, l’instinct sauvage avait regagné la bête. (Le faucon se tenait perché sur les hauts des petits arbustes à l’intérieur dans la serre). Et à chaque fois que Marius s’approchait vers lui, il décollait aussitôt violemment en passant d’une branche à une autre, manquant à chaque fois  de plaquer au sol le garçon. (sur chaque tentative d’envol qu’il effectuait).

Après que le jeune garçon cessât ses gestes brusques, (puis soudainement) le rapace se posa au faîte d’un cerisier.

 (sur le haut d’un autre petit arbuste),

Il se tenait immobile, les yeux fixés sur le jeune garçon qui ramassait soigneusement son habit tombé au sol.

Il l’enroula sur son avant bras.

Puis prudemment, il s’avança lentement vers le volatile en lui tendant délicatement son avant bras protégé.  Le faucon le fixait, le regard intrigué. Assez curieusement ce dernier s’éleva dans le vide et tourna étrangement autour de Marius.

Il se posa enfin sur son bras

 (partiellement recouvert par sa blouse).

C’était gagné ! Marius avait réussi. Il avait gagné la confiance de l’oiseau sauvage.

Avec douceur il s’approchait de la sortie. (de la serre) Il ne quittait pas des yeux un instant le falconidé. Une fois dehors, il marcha quelques mètres, et s’arrêta près du puits.

 Et volontairement il tendit (progressivement) son bras en direction du ciel, donnant ainsi le signal à l’oiseau. (et puis le bloqua brusquement, à ce moment là seulement). Celui s’éleva dans les airs, instinctivement en se propulsant.

(le grand oiseau réagissait)

Marius, observait la grande envergure de son vol, guider par le vent.

Toutes ces prouesses fascinaient le jeune garçon, qui s’était élevé en montant sur la bordure circulaire du puit pour mieux contempler le spectacle. 

Après quelques évolutions dans le ciel, le grand oiseau redescendit graduellement en effectuant des courbes giratoires vers le petit Marius qui le réceptionna sur son bras, avant de le laisser à nouveau s’envoler, cette fois-ci avec plus d’aisance. Le grand oiseau se dirigeait vers le nid se trouvant au sommet du grand arbre dont il était tombé peu de temps avant.

Puis le flamboyant oiseau redescendit encore de la même façon, en effectuant des cercles, mais cette fois-ci avec une branche entre ses serres. Sur cette branche étaient groupés neuf fruits arrondis qu’il abandonna au sol.

(un peu avant d’atteindre Marius).

Marius saisit  avec dextérité les fruits qui s’étaient détachés, en se servant spontanément de sa blouse comme une poche de kangourou.

Mais pendant qu’il faisait cela, il ne vit pas le puits. Il glissa du rebord, et tomba dans le puits rempli d’eau.

Le plus remarquable  en fait c’est que le jeune Marius, qui n’était pas bon nageur, ne se noya point. Il parvint à saisir une branche pour s’en extirper.

(En se demandant ce qui c’était passé)

…Il tenait fermement dans sa main sa blouse où étaient enveloppés trois des fruits rescapés de la noyade.

(Une fois remonter en surface).

 Il cherchait du regard le grand oiseau. Nul trace…

(en regardant partout dans les airs)

 Il ne l’apercevait plus. seul un étrange relief semblable à un nid était perceptible sur les hauteurs d’un arbre, c’était celui duquel le rapace avait chuté auparavant…

Et lorsqu’il reprit ses esprit, il déploya au sol sa blouse qui était mouillée… à sa grande surprise il se rendit compte que ces trois fruits étaient distinctement devenu trois petites sphères : une en liège, une autre en cuivre, la troisième en cristal. Visiblement très ému par cet événement et ne sachant quoi en faire, il remballa les trois sphères dans sa blouse et alla les dissimuler dans la serre du Jardin, avant de repartir à Ilmote pour son cours. Depuis ce jour là, nul ne se douta de ce qu’il avait vu dans le trou emplit d’eau, ni même de ce qui allait advenir.

Ce qui est sûre c’est que de cet évènement était née une complicité entre Marius et le grand oiseau,

Le pacte de l’alliance scellé entre le grand oiseau et lui, allait considérablement transcender le jeune apprenti, car depuis ce jour Marius n’hésitait plus à creuser au plus profond de son imagination, dans l’espoir d’atteindre l’occulte.”

Pendant ce temps à dans les couloir d’Ilmote.

Une voix avenante : « Barcik… Barcik… »

Lady Tumbman : « Barcik…Barcik…Murmure t-elle mais où est-il allé ce chat?

Une porte  entre ouverte se referme.

-Ah c’est toi ! Tu es attendu chez le Doyen (Directeur).

-Maintenant ?

-Oui tout de suite.

-Dis donc !  On ne t’as jamais autant vu dessiner ces derniers temps.

-Hé oui Madame, tout un portfolio a rendre avant..

Le chat s’échappe à nouveau……..

Organigramme et compréhension du conte.

Introduction :

On suit les premiers pas de Marius alors âgé de 17 ans.     

Il est scolarisé à l’Ecole

C’est bien avant l’époque Mingus

Un incendie éclate dans la bibliothèque de l’école

Marius est injustement accusé

Il est chassé de l’école

Ellipse temporelle # 1 Course poursuite. Marius Dragan vs Lu Mingus

Ellipse Temporelle # 2

Introduction personnages :

Lady Thumbman (cpe)- narration : voix off

Texte : Légende de Marius Dragan et faucon.

À partir de quel moment est introduite cette ellipse#2 ?

Introduction de l’école Ilmote ??

(Par la problématique avec les administrateurs)

Introduction de l’édification de la nouvelle ville ?? (à quelle moment ?)

Définir les tenants et aboutissement entre

Les administrateurs et les groupes gens natives (habitants de la contrée).

ATTENTION :

Tenir compte qu’il va également y avoir un arrivage de proto (voyageurs= Yeniches) dans la contrée.

Ainsi que la venue des circassiens portées par les personnages : Mr loyal (organisateur du cirque), Mlle Rocca de la Luna

(La voyante). Attention : ce derniers ont été élèves à Ilmote (du temps Marius Dragan)

(Je n’ai pas défini s’ils étaient amis auparavant).

Le but des circassiens (ex : Rocca de Luna)

Est de révéler d’une façon divinatoire (de la par leur spectacle) aux habitants de la contrée un événement inattendu (dangereux peut être), mais ils vont se heurter à un mur, les administrateurs.

Il est nécessaire de prendre en compte qu’il y a eu auparavant des élèves qui ont pris en joute Marius Dragan en le poursuivant d’Ilmote à travers la forêt jusqu’à la vieille passerelle à corde.

Et puis une autre groupe des élèves : La Meute ( Ashe et L’Ami), sont deux manipulateurs et emmerdeurs  en vers les Ravens ( Lu Mingus, A.P, Kenoa, Syl).

Type narration.

Pépé et la CPE (Lady Thumbman).